Une rencontre inattendue : quand un policier croise un retraité sur la route

Publié le 3 juin 2025
MAJ le 6 juin 2025

Découvrez le pouvoir curatif du rire : selon les recherches de la Mayo Clinic, il contribue à améliorer la santé du cœur, à relâcher les tensions musculaires et à renforcer notre système immunitaire. Une thérapie gratuite qui se propage par un simple éclat de rire !

Les plaisanteries sans vulgarité, adaptées à tous les publics, possèdent un charme indéniable. Elles circulent avec facilité, que ce soit entre proches, en réunion familiale ou même au bureau. Voici deux historiettes pleines de légèreté, idéales pour provoquer un sourire franc… ou un éclat de rire !

Le retraité et son attelage de palmipèdes

Visualisez ce tableau : un doux après-midi dans une bourgade paisible. L’agent de police local observe un vieux camion avançant lentement sur la place du village… chargé jusqu’à la gueule de canards. Pas enfermés, oh non : installés confortablement, certains arborant des lunettes noires, d’autres dégustant du pop-corn comme au théâtre.

Curieux (et légèrement alarmé), l’agent fait stopper le véhicule. Il s’avance et déclare, d’un ton à la fois ferme et poli :

« Mon cher monsieur, cette promenade urbaine avec toute cette volaille est impossible. Conduisez-les immédiatement au zoo, je vous prie. »

Le vieil homme approuve :

« Bien entendu, monsieur l’agent. Nous partons sur-le-champ. »

Le jour suivant, même véhicule, même conducteur, mêmes canards… mais cette fois-ci coiffés de bérets, certains tenant des appareils photo, un autre grattant mélodieusement une petite guitare.

Le policier, stupéfait, s’exclame :

« Mais… je vous avais expressément demandé de les conduire au zoo ! »

Le vieil homme rétorque, l’œil malicieux :

« C’est exactement ce que nous avons fait ! Ils se sont régalés. Aujourd’hui, c’est excursion à Eurodisney. Demain ils réclament l’Everest… mais il va me falloir un minibus ! »

L’époux un tantinet précipité

Autre pépite humoristique :

Dans une commune rurale, un conducteur se fait intercepter pour vitesse excessive. Avant qu’il ne puisse placer un mot, l’agent l’apostrophe sèchement :

« Motus ! Vous patienterez en détention jusqu’à ce que mon supérieur arrive ! »

L’automobiliste tente de plaider : « Permettez-moi juste de vous expliquer que… »

« Rien à ajouter ! Vous verrez ça avec le capitaine. »

Quelques heures plus tard, le gardien revient, l’air amusé :

« Vous avez une sacrée veine, le patron est au mariage de sa fille. Il devrait rentrer de très bonne humeur ! »

Ce à quoi le prisonnier répond avec calme :

« Je ne miserais pas trop là-dessus… je suis précisément le nouveau gendre. »